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Projets d'avenir Ados

Les Ados rêvent tous d'un lendemain meilleur, d'un avenir couronné de succès. Notre mission c'est de les accompagner...

Ados et TIC

Les Ados sont de nos jours qualifiés de génération tête baissée, la multiplication des réseaux sociaux et l'avancée des TICs les y contraignent. Seulement cette nouvelle façon de vivre est très souvent source de conflit avec les générations d'adultes...

Ados et Divertissement

Le divertissement occupe une place de choix dans la vie d'un Ados. Les moments de retrouvailles entre Ados sont particulièrement mémorables...

Ados en difficultés

L'adolescence, bien qu'étant une période de joie et de bonheur est souvent marquée par des difficultés. Les Ados sombrent parfois dans la délinquance, l'alcool, la drogue, etc.... Notre mission est de les aider à remonter la pente...

Ados face aux Parents

Les Ados sont dans la plupart des temps incompris de leurs parents, ils sont permanemment en conflit. Les parents doivent se former à l'éducation des Ados et les Ados à la communication avec les adultes...Notre mission est d'être médiateur entre les deux parties...

mardi 6 septembre 2016

Ça dit quoi? : Scolarisation précoces des enfants : Atout ou handicap ?







Scolarisation précoces  des enfants : Atout ou handicap ?

Il est de plus en plus fréquent de voir  de jeunes enfants de 2 à 3 ans aller à l’école. De même, il n’est plus rare de  se rendre compte que, nombreux sont les adolescents de 15/ 16 ans qui ont achevé leurs cursus secondaire.  Nous tentons de comprendre ce phénomène de façon scientifique en prenant appui sur les considérations et mutations sociales ainsi que sur les théories psychologiques du développement de l’enfant.

 D’un point de vue institutionnel la loi camerounaise fixe l’âge minimal d’admission en moyenne section de maternelle à  4 ans et à 5 ans pour la grande section. Par simple déduction nous pouvons donc comprendre qu’il n’est pas illégal d’inscrire son enfant en petite section de maternelle  dès l’âge de 3ans. Cependant qu’est ce qui justifie le fait qu’on retrouve de plus en plus les enfants de 2 ans et parfois moins dans nos écoles maternelles. Dans la plupart des cas,  les parents le font parce qu’il n’y a personne pour s’occuper de leur enfant en leur absence, d’autre par suivisme, et une partie  pense que c’est un avantage d’évoluer rapidement et d’avoir précocement ses diplômes.  Il serait donc important de rappeler un temps soit peu que la conception des programmes scolaires tient compte  des capacités d’acquisition psychologiques et développementales des enfants. De ce fait, un enfant peut être précocement scolarisé et réussir sur le plan scolaire cependant, être totalement inadapté sur le plan social et présenter de réelles difficultés de communication et d’insertion sociale.  A coté de cette inadaptation sociale qui se manifeste tardivement, nous notons également  le traumatisme de l’école chez les jeunes enfants. 

La grande majorité des psychologues s’accorde à dire que la scolarisation à deux ans comporte un risque pour le développement psychologique de l’enfant.  A cet âge, les enfants sont encore des bébés qui ont besoin de sommeil, d’attention, de protection et d’affection. Pour  le  pédopsychiatre Bernard Golse, les enfants de deux ans ont bien d’autres choses à faire qu’à apprendre. A cet âge, l’enfant entretient une relation privilégiée avec sa mère. Pour se sentir en sécurité et se développer, il a besoin de sa mère ou d’un « substitut maternel », rôle que peut tenir un proche ou le personnel des  crèches mais, en   aucun cas une maitresse  d’écoles  qui a au moins 20 enfants à sa charge et un programme scolaire à couvrir. Donald   Winnicott,   médecin,   pédiatre   et psychanalyste  britannique,  a  bien  montré  que  l’enfant  a  besoin  d’appréhender  le  monde  à  petite dose afin de s’en saisir et de ne pas se sentir impuissant. D’où un risque pour l’enfant scolarisé précocement de vivre un sentiment d’abandon et d’insécurité affective qui l’empêche de grandir.

 Les psychologues identifient deux grandes catégories de  risques auxquelles s’exposent les enfants scolarisés précocement. Il s’agit d’une part d’être  rendu  passif  par  une  adhésion  sidérée  au  groupe,  ou  de  se  figer  dans  une régression mutique dans la peur, point de départ des pathologies à venir, ou encore d’exploser de vitalité dans une instabilité ou une agressivité si bruyante qu’il rencontrera un rejet toujours renouvelé…  et d’autre part  celui de  préparer le refus de l’autre, la révolte face à toute règle collective. La violence exprimée de plus en plus tôt est l’effet de la violence subie de plus en plus précocement…

Il n’en demeure pas moins qu’il ne s’agit pas d’une règle absolue et, qu’il existe bien des enfants scolarisés précocement qui se développent normalement.

Selon vous un enfant doit il aller à l'école avant 2 ans? Pourquoi?

         Ric Tchassep  le Pote des ados

mercredi 18 mai 2016

Ça dit quoi ?: Quel langage d’Amour pour les Ados.


Quel  langage d’Amour pour les Ados.  

L’expression de l’amour aux ados est à n’en point douté une des plus grandes difficultés de la relation entre parents et ados. L’adolescence, étant  une période tumultueuse marqué par la quête de l’identité et de l’autonomie. Cette situation crée dans la plupart des cas une distanciation, voire un conflit permanent entre les ados et leurs parents. Certains parents en sont désemparés et ne savent comment s’y prendre malgré de multiples tentatives sans succès.  Certains parents sont souvent impuissants devant leurs ados qui, s’émancipent au point de s’installer progressivement  dans la délinquance. Nous formulons deux hypothèses explicatives de cette impuissance parentale. Soit les parents n’ont jamais identifié le langage d’amour à communiquer à leurs enfant soit ils n’ont pas su actualiser ce langage.

Les parents éprouvent de grandes difficultés à communiquer véritablement avec leurs ados. En effet, la plupart des parents font d’immenses efforts pour manifester leur amour aux ados et ceux-ci, de leurs coté, sont presque toujours incompris. Un adolescent de 18 ans, me confie au cours d’une consultation «  mes parents ne me font pas confiance, ils décident tout à ma place, il est impossible de causer avec eux car ils ont toujours raison » lorsque je reçois le papa de cet ados quelques jours plus tard il me dit «  mon fils est très paresseux, et en plus, il ne communique pas. Nous avons essayé en vain d’établir le dialogue avec lui ». Cette situation qui n’est pas isolé illustre à suffisance la peine que les parents ont à communiquer leurs sentiments à leurs ados.

Gary Chapman identifie 5 langages d’amour pour exprimer son amour à son adolescent. Il est important pour chaque parent de découvrir le ou les langages d’amours auxquelles sont ados est sensible et de lui manifester son amour en y tenant compte. Dans cet article nous nous contentons de présenter ces langages sur lesquels nous pourrons y revenir de façons plus spécifiques plus tard.
-          Les paroles valorisantes : plusieurs adolescents sont sensibles aux paroles d’appréciations, d’éloges et d’affections.
-      Le toucher : certains adolescents sont sensible aux contacts physique chaleureux (étreinte, caresses…) cependant il faut toujours tenir compte du lieu, du moment et de la manière.
-          Les moments de qualités : certains ados  préfèrent se retrouver avec ceux qu’ils aiment pour vivre des moments d’intimité, nous devons pouvoir créer un environnement favorable à la rencontre et à l’expression.
-       Les services rendus : certains ados témoignent de l’amour de leurs parents et proche de par le nombre et quantité des services que ceux-ci leurs rendent.
-    Les cadeaux : certains ados attachent une très grande importance aux cadeaux et souvenirs par conséquent sont sensibles à ce langage d’amour.
Pour faciliter la communication sincère entre parents et adolescents, il serait judicieux pour chaque parent d’apprendre à découvrir les langages auxquels son/ses ados sont sensibles et de s’en servir dans les différents dialectes possibles.

Quel est le langage d’amour auxquels vous êtes le plus sensibles ?


                                                                    Ric Le Pote des ados

mardi 19 avril 2016

Ca dit quoi ? : Organisation des adolescentes dans la rue


jeudi 7 avril 2016

mercredi 2 mars 2016

Ça dit quoi ? : Premières expériences sexuelles des adolescent(e)s




Ça  dit quoi ? : Premières expériences sexuelles des adolescent(e)s
  
La plupart des observateurs s’accordent  à dire que l’acte sexuel est aujourd’hui devenu banal. L’avènement des médias et l’évolution fulgurante de la technologie (la télévision, internet, le  téléphone…) y sont certainement pour beaucoup. Dans la société traditionnelle africaine les rapports sexuels étaient un acte sacré réservé à un homme et une femme unis par le mariage. Il était donc rarissime de trouver une jeune fille célibataire  et sexuellement active. De nos jours, le brassage des cultures et l’ouverture sur le monde ont fortement contribué à désacralisé les rapports sexuels et  tout se présente comme s’il fallait absolument avoir les rapports sexuels à l’adolescence. C’est carrément un effet de mode voire une norme établie.  A cela je voudrai dire aux adolescents NON ce n’est pas une obligation  et contrairement à ce qui est véhiculé comme message il n’y a aucun risque sur le plan sanitaire à ne pas avoir des relations sexuelles à l’adolescence. Bien au contraire, l’abstinence sexuelle nous préserve de bien de déboires tels que les grossesses non désirées, les IST et le VIH/SIDA. Le rapport sexuel est un acte qui engage notre responsabilité ce n’est pas un jeu nous devons donc l’envisager  avec  tout le sérieux possible et ne passer à l’acte que si nous nous sentons prêt et surtout si nous avons trouvé la bonne personne.  

Nous avons mené deux sondages pour voir à quels âges et dans quelles conditions  les adolescents entretiennent leurs premiers rapports sexuels. Le premier est constitué de 100 personnes âgées entre 21 et 40 ans avec 52 femmes et 48 hommes et le second de 50 jeunes âgés entre 15 et 20 ans avec 26 filles et 24 garçons. Il en ressort que l’âge moyen du premier rapport sexuel  dans le premier sondage se situe entre 18 et 19 ans chez les garçons alors que chez les filles il se situe entre 19 et 20 ans.  Dans le second sondage, il se situe autour de 14 et 15 ans indépendamment du sexe.  Environ 60% des participants dans les deux sondages ont eu des rapports sexuels non protégés. Les principales raisons évoquées sont respectivement l’absence de préservatif à portée de main, la pression du partenaire, le désir de prouver son amour ou à la suite d’un événement heureux.

Au regard des évolutions vertigineuses que nous observons dans la société actuelle, Il serait judicieux d’éduquer les adolescents  sur la place des rapports sexuels en établissant le lien avec les valeurs sociétal que nous voulons véhiculer. A mon sens de tout temps, que l’on soit dans la société traditionnelle ou moderne l’âge moyen des premières relations sexuelles se situe entre 16 et 22 ans. Seulement, Autrefois, l’entrée dans la sexualité était liée au mariage en particulier pour les femmes : le plus souvent elles avaient leur premier rapport sexuel avec leur mari ou l’homme qu’elles allaient épouser. Le problème des rapports sexuels précoce ne se posait vraiment pas. De nos jours, non seulement les stimuli en lien avec la société moderne sont beaucoup plus nombreux, mais également l’insertion professionnel et le mariage est de plus en plus tardifs. Il nous incombe donc de concevoir les programmes d’éducation à la sexualité des adolescents et des jeunes qui tiennent à la fois compte des mutations de la société et des valeurs que nous voulons transmettre.

Pour participer au sondage anonyme  bien vouloir cliquer sur ce lien https://docs.google.com/a/3sh.org/forms/d/1HZOQZTOqJAkytqUfBoHAurw_nqNz7RXl4uzgbhMhFaY/edit#  

Laissez votre commentaire…

                                                                       Ric le pote des ados.

mardi 2 février 2016

Ça dit quoi ? : Les Multiples Visages des Adolescent(e)s


Les Multiples Visages  des Adolescent(e)s  


Connaissons nous vraiment nos adolescent(e)s. Prenons nous suffisamment de temps pour les  écouter, pour nous intéresser à leurs préoccupations. Combien de parents connaissent les ami(e)s de leurs adolescent(e)s ? Combien de parents connaissent les loisirs de leurs adolescent(e)s ? Combien prennent du temps pour écouter, discuter et échanger avec leurs adolescents ? Combien s’intéressent à leurs vies amoureuses et sexuelles ? Oui nos adolescents ont une vie amoureuse et sexuelle même si nous refusons d’y croire ou de nous y intéresser. Dans la plupart des familles de nos jours les relations entre parents et adolescent se limite à la satisfaction des besoins matérielles (vêtements, scolarité…) aux interdictions et aux  ordres  (As-tu étudié ? fais la vaisselle ? le ménage ? la lessive ?...). La communication et les interactions familiales pacifiques ont pratiquement foutu le camp  et les adolescent(e)s en souffrent énormément ? Tous les adolescents rêvent d’être compris, acceptés et guidés par un parent qui sache favoriser l’acquisition de l’autonomie. Les besoins des ados sont bien plus important que le matériel et les cadeaux qu’on leurs offrent, ils ont besoins d’attention, d’écoute et communication.

Lorsqu’on parle de communiquer il ne s’agit aucunement de leur crier dessus à tous les coups  car, plus ont leur crie dessus, plus ils s’installent dans des comportements à risque. A ce sujet, les résultats d’une étude menée aux USA montrent qu’élever la voix et tenir des propos sévères ou rigides face à des adolescents est contre-productif. En haussant le ton et en choisissant des mots parfois durs à entendre, vous espérez attirer l’attention de l’adolescent sur son comportement. Mais, à l’inverse, il va alors s’installer dans un comportement rebelle. Nous devons également éviter d’étiqueter les adolescents par des expressions toutes faites telles « Bon à rien », « vaurien ». Nous devons donc apprendre à comprendre et à parler le langage des adolescents car la plupart des parents parlent à leurs adolescents avec le langage des tous petits qui sont plus sensibles aux hurlements des adultes et à la punition.

Généralement les adolescents ont plusieurs visages en fonction de la situation dans laquelle ils se trouvent. Je rappelle à toute fin utile que le niveau d’intelligence et d’imagination d’un adolescent est comparable à celui d’un adulte par conséquent, ils sont capable de présenter aux adultes l’image qu’ils souhaitent que ceux-ci aient. Dans la réalité les adolescents et, très souvent ceux qui semblent les plus dociles voire innocents sont capables de biens de choses à l’insu des parents : dribbler les cours, regarder un film pornographique avec les amis, consommer l’alcool, le tabac, la drogue, intégrer une bande, un gang, avoir des relations sexuelles à risques, fuguer etc.  
Deux grandes explications permettent de comprendre ces conduites, la première est le mal être de l’adolescent vis-à-vis de son environnement proche qui est la famille et son fonctionnement et, secundo l’envie de ressembler à ses pairs : c’est le désir de s’identifier aux jeunes de son âge via le conformisme social.

Nous devons donc être plus présent pour nos adolescents et surtout être très attentifs aux signaux d’alarme  telles que :

L’isolation : un adolescent qui est tout le temps dans sa chambre et ne sort que quand il se sent obligé est un adolescent en détresse.
Les rentrées tardives et sorties nocturnes : les adolescents qui bafouent systématiquement les règles et sortent régulièrement la nuit à l’insu des parents sont en détresses.
La dépendance aux téléphones et aux jeux : Le fait pour des adolescents de ne pas parvenir  à se séparer de leurs téléphones ou de leurs ordinateurs, consoles… sont des signaux de détresses.
La tenue d’un journal intime : les adolescent(e)s qui tiennent des journaux intimes sont très souvent en détresses.
Il existe certes plusieurs autres signes de détresses. Si vous en identifiez chez vos adolescents ou autour de vous n’hésitez pas à vous faire aider.

Quels sont les comportements des adolescent(e)s lorsqu’ils sont incompris par les parents ?

Laissez votre commentaire !

                                                                               Ric le pote des Ados 

mardi 5 janvier 2016

Ça dit quoi ? : Échecs scolaires à l’adolescence : les principales explications psychologiques du phénomène

  Échecs scolaires à l’adolescence : les principales explications psychologiques du phénomène

Si on se fie à la  définition à l’adolescence on situera cette étape du développement de l’individu entre 12 et 18 /19 ans. En transposant ces âges sur le cursus scolaire on se rend compte que ces âges correspondent  respectivement aux âges d’entrée et de sortie du secondaire. On peut donc conclure que l’adolescence se vit pleinement entre la classe de sixième et de terminale.  Au Cameroun le taux d’échecs scolaire au secondaire est très élevé et particulièrement en classe d’examen.  Au baccalauréat de l’enseignement général de l’année 2015 on dénombre un peu plus de 44% d’échecs contrairement au pays comme la France qui n’a que 12%  et, au BEPC, le Cameroun compte environ 41 % d’échecs en 2015.

Les causes des échecs scolaires sont certes très nombreuses et sont très souvent liés. Nous tentons ici de les classer en deux grands groupes à savoir les causes organisationnels ou structurels (liées au système éducatif) et les causes psychologiques (liées à aux élèves  et à l’environnement familiales.

Pour ce qui est du premier groupe nous recensons trois principales explications à savoir les effectifs pléthoriques, le manque de fourniture scolaire et aux manque d’engagement des enseignants. En effet, il est désormais monnaie courante d’avoir les salles de classes de plus de 120 élèves dans nos  Lycées. Cette situation ne permet pas de suivre de façon rapprochée les enfants en situation d’apprentissage. Par ailleurs on se rend compte que dans les lycées et collèges et pour diverses raisons, les élèves manquent les livres scolaires de façon  criard ce qui ne facilite pas les acquisitions. D’autre part nous faisons également la remarques que les enseignants désertent de plus en plus les établissements publics et particulièrement dans les zones rurales aux profits des cours de vacations et répétitions  dans les collèges privés  et les quartiers.

Pour ce qui est des explications d’ordre psychologique nous pouvons faire allusion à la scolarisation précoce. En effet les enfants sont de plus en plus scolarisé jeune et ils atteignent parfois les classes d’examens sans avoir la maturité organique nécessaire pour pouvoir maîtriser certaines acquisitions du programme scolaire. Il s’agit par exemple des difficultés d’apprentissages qui sont très manifeste dans les classes de premières et terminales.

Une autre cause peut être l’indiscipline. Celle ci concerne principalement les élèves des classes de 6ème en 3ème qui est la période de l’adolescence qui est marqué par les sécrétions hormonales et de grands changements corporels.

 Les échecs scolaires peuvent également s’expliquer par le pourcentage élevé des troubles de l’adolescence. Il s’agit par exemples des troubles de l’humeur, d’adaptation, d’identité, de sexualité  qui peuvent se manifester par la consommation abusive de l’alcool, l’isolation, les insomnies, les préoccupations corporelles,  les fugues, les tentatives de suicides… ces troubles se manifestent avec beaucoup d’acuité chez les adolescents autour de la classe de première et terminale.

Parmi ces causes figurent également en bonne place les troubles des interactions familiales. En effet nous faisons la remarque que la plupart des enfants en situations d’échecs scolaire ont un vécu familiale très souvent difficile et permanemment en conflits avec les parents et/ou tuteurs. Dans la plupart des cas il s’agit les enfants orphelins ou évoluant dans une famille monoparentale. Les élèves du second cycle sont les plus concernés.

Ajoutés à toutes les explications qui précèdent nous pouvons également faire allusion aux troubles psychique majeures comme explications possibles des échecs scolaires cependant cette ne représente qu’un faible pourcentage parce les victimes de ses troubles ne sont généralement pas scolarisé.


      Selon vous qu’est ce qui peut expliquer les échecs scolaires à l’adolescence ?

Laissez votre commentaire !

BONNE ET HEUREUSE ANNÉE 2016 A VOUS !!!

           Ric le pote des ados.